Coucou,
Je vous retrouve aujourd’hui dans cette bullette de mois en mois de janvier. J’ai pris le temps de l’écrire petit à petit au fil du mois, sans pression. J’espère qu’elle vous plaira, en toute simplicité pour bien débuter l’année. D’ailleurs, j’en profite pour vous remercier pour l’accueil que vous avez fait à la précédente et aux discussions bienveillante que nous avons pu avoir en lien avec le sujet que j’y avais abordé, cela fait toujours du bien d’échanger ainsi.
Mes souvenirs de décembre 2022
Au fil du mois de décembre comme au cours des autres mois de l’année, j’ai eu de nombreux souvenirs comme :
- Le 3 décembre qui comme tous les ans depuis quelques années est un jour important à mes yeux et dans mon cœur.
- Le 6 décembre, où je suis allée chercher mes nouvelles lunettes, le début d’une nouvelle aventure qui porte déjà ses fruits.
- Le 11 décembre, où j’ai pris le temps d’aller au cinéma voir en avant-première le film Tempête que j’ai adoré ! Ensuite, j’en ai profité pour aller faire une sortie au château d’Angers à l’occasion du marché des artisans pour Noël qui y était organisé, un moment que je suis heureuse d’avoir pris le temps de vivre. Ce sont des sorties que je m’autorise rarement à faire mais je devrais vraiment le faire plus souvent car cela m’a fait le plus grand bien.
Parmi mes souvenirs du mois de décembre il y a aussi, des moments en famille, le travail, la santé, etc…
- Le 30 décembre, j’ai profité d’une soirée concert depuis mon canapé en regardant la rediffusion du concert de Mika au sein de la philharmonie de Paris. Cela aurait été l’un de mes rêves de le vivre en réel, malheureusement je n’ai pas réussi à trouver des places. Par contre, je suis profondément ravie qu’il ait été diffusé à la tv car cela m’a permis de le vivre même si c’était d’une autre façon.
- Enfin, le 31 décembre, je suis allée profiter du dernier jour de l’exposition Gravity au cœur de la collégiale St Martin. Un beau moment poétique.
Sorties qui me tentent
Maintenant que je vous ai partagé quelques souvenirs de mon mois de décembre, j’ai envie de partager avec vous diverses idées de sorties qui me tentent. Que ce soit des sorties littéraires, des sorties cinémas, où des sorties à proprement parler, le mois de janvier est un mois riche qui ouvre l’année en beauté.
– 4 janvier au cinéma sort : Tirailleurs avec Omar Sy
En voici le synopsis, je ne sais pas si j’aurais le temps d’aller le voir, en tout cas il a attiré mon attention.
« 1917. Bakary Diallo s’enrôle dans l’armée française pour rejoindre Thierno, son fils de 17 ans, qui a été recruté de force. Envoyés sur le front, père et fils vont devoir affronter la guerre ensemble. Galvanisé par la fougue de son officier qui veut le conduire au cœur de la bataille, Thierno va s’affranchir et apprendre à devenir un homme, tandis que Bakary va tout faire pour l’arracher aux combats et le ramener sain et sauf. »
– 5 janvier sort le livre : Plus jamais sans moi de Maud Ankaoua. C’est une autrice dont j’ai déjà lu les autres ouvrages que j’ai adoré alors celui-ci me tente beaucoup. Néanmoins, j’attendais que le format poche sorte car il est plus pratique pour moi. En voici le résumé :
« Et s’il était temps pour vous de rencontrer enfin le grand amour ?
Constance, avocate brillante, a obtenu le poste qu’elle convoitait dans un cabinet d’élite. Pourtant, à l’approche de la quarantaine, elle se sent fragile et peu sûre d’elle. Très amoureuse de Lucas, elle attend que celui-ci quitte sa femme comme il le lui a promis. Alors qu’elle vient de signer son contrat, Constance découvre qu’elle doit effectuer une période d’essai d’un genre… peu conventionnel ! Soutenue par ses amis, elle accepte de s’écarter dangereusement de sa zone de confort. Une expérience qui bouleversera sa vision d’elle-même et de l’amour. Une nouvelle fois, Maud Ankaoua nous entraîne dans un univers captivant et émouvant dont on ressort grandi. Elle nous livre avec générosité, inspiration et conviction les clés de l’amour vrai, celui qui rend profondément heureux.
« Quand un homme marche vers son destin, il est bien souvent forcé de changer de direction. »
Paulo Coelho »
– 11 janvier sort : Memphis de Tara M.Stringfellow. Un ouvrage publié chez les éditions charleston, une maison d’édition dont j’adore suivre les parutions car elles m’offrent généralement un beau moment. Celui-ci pourrait en faire partie.
« Dans la chaleur étouffante de l’été 1995, après un énième débordement de colère de son père, Joan North trouve refuge avec sa mère et sa jeune sœur dans la majestueuse maison qui a vu les femmes de sa famille grandir. Tapissé de lierre et de chèvrefeuille où nichent colibris, abeilles et papillons, ce verdoyant havre de paix semble raconter sa propre histoire. En poussant la gigantesque porte de bois, Joan sait qu’elle va découvrir d’innombrables fantômes. Celui de son grand-père, lynché après être devenu le premier inspecteur noir de la ville. Celui de sa grand-mère qui, guidée par une rage incandescente, transforma son salon en lieu de rassemblement du mouvement révolutionnaire noir de Memphis. Et sa propre terreur, qui la submerge en même temps que ses souvenirs lorsqu’elle passe le seuil de la véranda.
Confrontée aux tragédies des générations qui l’ont précédée dans cette demeure, Joan devine intimement, du haut de ses dix ans, que la violence n’est jamais loin…
Le portrait bouleversant de trois générations de femmes noires, qui célèbre la complexité de ce qui se transmet au sein d’une famille, d’une communauté et d’une nation tout entière.
Poétesse et ancienne avocate, Tara M. Stringfellow écrit pour plusieurs revues et magazines. Après avoir vécu à Okinawa, au Ghana, à Chicago, à Cuba, en Espagne, en Italie et à Washington, elle est retournée à Memphis, sa ville natale, où elle profite chaque soir de sa véranda. Inspiré de son histoire familiale, Memphis est son premier roman. »
–11 janvier sort dans un format poche : L’île aux enfants d’Ariane Bois.
Cette fois-ci, c’est dans un magnifique format collector à l’occasion des 10 ans des éditions charleston que nous pourrons découvrir ce livre. « L’histoire d’une quête des origines et d’une résilience, portée par un grand souffle romanesque. Pauline, six ans, et sa petite sœur Clémence coulent des jours heureux sur l’île qui les a vues naître, La Réunion. Un matin de 1963, elles sont kidnappées et embarquées de force dans un avion pour la métropole. À Guéret, dans la Creuse, elles sont séparées.
1998 : quelques phrases à la radio rouvrent de vieilles blessures. Frappée par le silence dans lequel est murée sa mère, Caroline, jeune journaliste, décide d’enquêter et s’envole pour La Réunion, où elle découvre peu à peu les détails d’un mensonge d’État.
À travers l’évocation de l’enlèvement méconnu d’au moins deux mille enfants réunionnais entre 1963 et 1982, dans le but de repeupler des départements sinistrés de la métropole, Ariane Bois raconte le destin de deux générations de femmes victimes de l’arbitraire et du secret. » franchement cela m’intrigue profondément.
D’ailleurs, je profite de vous partager cette sortie pour souhaiter un très joyeux dixième anniversaire aux éditions charleston. Une des maisons d’éditions que j’adore, né en janvier 2013 au sein des éditions Leduc grâce à l’envie de la fondatrice, Karine Bailly de Robien, cette maison d’édition a pour ambition de « Publier des romans qui nous transportent aux côtés de femmes fortes et inspirantes. »
Pour cela, ils s’engagent à : Offrir le plaisir de la lecture en publiant les romans qui nous ont transportés l’équipe afin de partager ces émotions avec les lecteurs ; fédérer des passionnés car lire n’est pas une aventure solitaire, et l’édition non plus ! Heureux maillon d’une chaîne d’amoureux de la lecture, les éditions Charleston pensent qu’éditer, c’est pouvoir tous les rassembler et je suis entièrement d’accord avec eux car à mes yeux, toutes les aventures de la vie sont encore plus belles lorsqu’elles sont partagées. Enfin, une des valeurs de Charleston est de vibrer avec engagement. C’est une maison d’édition qui se veut vivante, bienveillante, en mouvement avec son temps, engagée pour le féminin, dans toute sa diversité et sa force.
En bref, j’adore cette maison d’édition car je ne suis jamais déçue par mes lectures qui m’apporte toujours des moments de détente profond.
–19 janvier sort : Les vallées closes de Mickaël Brun Arnaud. Cet auteur a publié « Mémoires de la forêt » que j’ai adoré alors cela me donne envie de pouvoir découvrir encore plus sa plume.
» Comment ce monde incolore avait-il eu la cruauté, l’impertinence, la folie, de faire naître en son sein un garçon en couleurs ? «
Qui peut dire ce qu’il s’est vraiment passé cette nuit où Paul-Marie, employé de mairie bien sous tous rapports, a recueilli chez lui Enzo, jeune adulte atteint de déficience intellectuelle ?
Dans ce village reculé de Provence où les préjugés sont rois et où l’on condamne toute forme de différence, la vérité importe peu. Et Paul-Marie est contraint de se cacher dans le grenier de Claude, sa mère, pour échapper à la vindicte populaire.
– Enfin, le 25 janvier sortent deux films :
- Neneh Superstar.
« Née pour danser, Neneh est une petite fille noire de 12 ans qui vient d’intégrer l’école de ballet de l’Opéra de Paris. Malgré son enthousiasme, elle va devoir redoubler d’efforts pour s’arracher à sa condition et se faire accepter par la directrice de l’établissement, Marianne Belage. Cette dernière est en effet la garante des traditions et porteuse d’un secret qui la relie à la petite ballerine. »
- Divertimento.
« À 17 ans, Zahia Ziouani rêve de devenir cheffe d’orchestre. Sa sœur jumelle, Fettouma, violoncelliste professionnelle. Bercées depuis leur plus tendre enfance par la musique symphonique classique, elles souhaitent à leur tour la rendre accessible à tous et dans tous les territoires. Alors comment peut-on accomplir ces rêves si ambitieux en 1995 quand on est une femme, d’origine algérienne et qu’on vient de Seine-Saint-Denis ? Avec détermination, passion, courage et surtout le projet incroyable de créer leur propre orchestre : Divertimento. »
Ce sont deux films qui me tentent et que j’aimerais avoir le temps d’aller voir, l’avenir nous dira si cela a pu être le cas 🙂
Parmi les sorties qui pourrait être intéressante au fil du mois de janvier, il y a 35ème édition du festival Premiers plans du 21 au 29 janvier. Je finalise cet article en fin de mois, finalement je ne suis pas allée au festival car je n’ai rien vu dans le programme qui me tentait particulièrement. Néanmoins, j’ai pris plaisir à découvrir le palmarès et cela me donne envie de découvrir les films primés afin de comprendre pourquoi ils ont gagné.
Enfin, au fil du mois de janvier avait également lieu le festival d’Angoulême où je m’étais rendu l’an dernier, cette année je n’y vais pas mais le festival célèbre sa 50ème édition du 26 au 29 janvier. J’ai suivi grâce à Instagram certains évènements, une autre façon de suivre le festival mais qui était intéressante. Je suis ravie d’avoir découvert le palmarès, je le trouve très diversifié et intéressant. Pour la petite histoire, la BD qui a gagné le fauve d’or cette année : « La couleur des choses » de Martin Panchaud est une BD que j’avais découverte il y a quelques semaines en librairie et dont j’avais échangé avec ma libraire en lui disant que c’était typiquement une BD que j’imaginais gagner Angoulême. J’ai donc été heureuse de découvrir sa victoire, c’est le genre d’ouvrage que l’on ne peut pas décrypter complètement lors d’une première lecture mais qui est tellement intéressante que cela donne envie de prendre le temps de la décortiquer.
J’espère que cette bullette vous aura plu. N’hésitez pas à venir en discuter avec moi, me partager quelques souvenirs, quelques sorties qui vous intriguent, etc… ?
Les bullettes colorées 