Coucou,
Je vous retrouve aujourd’hui pour la bullette de mois en mois d’avril, elle sort un peu tardivement mais j’avoue que le mois de mars a été bien chargé, le mois d’avril défilé lui aussi tout aussi vite et j’ai privilégié ma santé, le repos à ce que j’avais envie d’écrire et partager.
J’espère que vous prendrez malgré tout du plaisir à la découvrir même tardivement 🙂
Mes souvenirs du mois de mars
Comme je vous l’ai dit dans mon introduction, le mois de mars a été bien chargé.
Il est donc riche en souvenirs et jolis moments de vie.
Le mois de mars a débuté par un petit week-end en famille mais aussi des mots que j’ai partagé avec vous sans tabou sur Instagram au sujet de ma santé et d’un sujet peu évoqué tel que la vessie neurologique, ce handicap qui est invisible aux yeux de tous mais qui lorsque l’on a des soucis de santé comme les miens ou un handicap peuvent arriver. Je l’ai évoqué sans tabou mais en prenant aussi soin de préserver ma vie privée, mon cocon. Cela m’a fait beaucoup de bien de parler sans tabou et cela a débloqué la parole de nombreuses personnes malades ou non qui étaient juste heureuse d’échanger sur la réalité de la vie qui n’est pas toujours visible. Je vais prendre le temps dont j’ai besoin mais j’ai envie de partager ici un ou plusieurs articles à ce sujet. Si j’ai évoqué ce sujet de santé c’est parce que grâce à une médecin super à l’écoute j’ai pu avancer, avoir des solutions et qu’il était important pour moi de partager, transmettre certaines choses que j’ai pu apprendre sur moi, ma santé et comment faire pour ne pas subir la maladie mais plutôt que l’on coopère ensemble.
Il a continué par un essai fauteuil roulant qui malheureusement ne s’est pas passé comme prévu. En effet alors que les deux premiers jours d’essais se passaient très bien, je me sentais très bien dans le fauteuil, il me correspondait bien, j’ai fais une chute en arrière sans rien faire de particulier. À ce jour, je ne m’explique toujours pas ce qui a fait que j’ai finis en quelques micro secondes par terre, la seule chose que je sais dire c’est que cela m’a traumatisée et a réveillé des peurs dû à des chutes faites il y a quelques années. Le soir même je me suis retrouvée très mal chez moi, j’ai fait une crise d’angoisse ce qui ne me caractérise pas normalement. Depuis, j’ai pris le temps de parler, écrire pour évacuer ce qui me faisait du mal et faire en sorte petit à petit d’aller mieux. Heureusement plus de peur que de mal malgré quelques contusions physique pendant plusieurs jours qui se sont résolus grâce à la super équipe de kiné qui m’entoure.
J’ai donc fait le choix de stopper cet essai et de faire une pause dans ceux à venir car je ne me sentais plus capable de le faire. D’ailleurs, j’ai eu pendant plusieurs jours peur au moindre mouvement avec mon propre fauteuil, de légères crises d’angoisses. Aujourd’hui quelques semaines après je me sens mieux, je pense que je vais être capable de reprendre les essais prochainement même si je ne suis pas encore 100% rassurée même dans mon propre fauteuil.
Ce fauteuil que j’ai essayé était un Aria 1.0, j’aimerais bien l’essayer à nouveau plus longtemps car je me suis vraiment senti bien avec et je pense qu’il peut être prometteur pour l’avenir.
Le mois de mars s’est poursuivi avec divers moments de vie pro/perso avant de prendre le temps de profiter de quelques jours en Charente que je vous ai raconté ici. Au cours du mois, il y a aussi eu un joli moment de vie perso, que je ne partagerai pas car c’est mon cocon et je veux le garder pour moi mais cela m’a fait beaucoup de bien et c’était important pour moi, pour mon avenir, ma construction.
Enfin, au cours du mois de mars il y a eu de nombreuses balades printanières! J’adore cette saison et pouvoir l’immortaliser grâce à mon appareil photo est un vrai bonheur! Je vous partage ici quelques photos et je vous invite à aller sur mon compte @lescouleursdunephotographe si vous souhaitez en découvrir plus au fil des semaines.
Sorties littéraires
Pour clôturer cette bullette de mois en mois, je vais vous partager quelques sorties littéraires qui m’intriguent pour ce mois-ci. Je n’ai pas repéré de sorties cinématographiques qui me donnent particulièrement envie d’aller au cinéma donc je ne vous en partagerai pas.
7 avril : Sous un grand ciel bleu d’Anna McPartlin. J’ai lu le premier tome de cette saga, il m’a profondément touchée alors quand j’ai vu que celui-ci sortait en poche cela m’a rendue curieuse de le découvrir. Je vous laisse lire le résumé pour vous faire votre propre idée.
« La chaleureuse, la merveilleuse et bordélique famille Hayes est de retour !
Sous un grand ciel bleu, Rabbit a rendu son dernier souffle. Elle était leur fille, leur sœur, leur mère. Elle était leur soleil. Comment, dans cette famille d’ordinaire si loufoque, retrouver goût à la vie ? Davey l’a promis à sa sœur: il prendra Juliet avec lui. Mais comment s’occuper d’une enfant de douze ans quand le seul engagement qu’on a eu dans sa vie, c’est un abonnement au magazine Rolling Stone? Comment garder la foi, quand on a perdu un enfant? Chacun à sa manière, les Hayes vont tenter de surmonter leur chagrin. À chaudes larmes ou à grands rires, la résilience en souriant. »
12 avril : Mes maux en couleurs et mon combat pour le bonheur de Diane Wattrelos. Je ne connaissais pas l’histoire de Diane mais ce résumé me parle, peut-être parce qu’il correspond à ce que j’ai pu vivre sur certains points de ma vie.
« Ma vie a basculé une nuit où tout semblait pourtant si calme. La bête s’est glissée dans mon corps et ne m’a plus laissé une journée de répit. Il a fallu attendre des années pour, qu’enfin, on puisse poser un nom sur cette pathologie : l’algie vasculaire de la face. Les médecins la surnomment « la maladie du suicide » et comparent l’intensité de sa douleur à une amputation sans anesthésie. Ne pouvant me résoudre à vivre avec cette douleur insoutenable, j’ai tout essayé, faisant souvent même office de cobaye. Épuisée par les multiples traitements et mutilée par mes 12 opérations, je n’étais plus que l’ombre de moi-même. Il était alors vital pour moi de donner un sens à tout ce combat. Aujourd’hui, j’ai pris conscience que chaque moment de répit avec ma famille et mes amis, même court, était essentiel et allait me permettre d’affronter chacune de mes épreuves. Et je sais qu’il est urgent de vivre et que, même si mon bonheur est un combat de chaque instant, j’en sors victorieuse chaque jour !
DIANE WATTRELOS, après dix ans d’errance médicale, a été diagnostiquée : elle souffre d’une algie vasculaire de la face, une maladie rare, neurologique, qui engendre des crises de douleur insoutenables. Elle a créé le compte @les_maux_en_couleurs afin de partager, aider et sensibiliser sur cette pathologie, partager ses victoires quotidiennes et son combat pour le bonheur. »
13 avril : Nos identités celles qu’on nous impose celles qu’on cache. 6 autrices, 6 voix de la diversité, réunies par l’association Diveka et Rageot.
« Voici mon identité ! Elle était gommée, bafouée ou méprisée. On m’avait rendu.e invisible, inaudible. Ma voix éclate ici. À votre tour, faites-entendre la vôtre pour que les diversités jaillissent ! »
Cet ouvrage m’intrigue, ce collectif d’autrices s’engage pour mettre en avant les différences et la diversité du monde qui le rende encore plus beau. Cela donne envie de le découvrir.
13 avril : Nos cœurs aidants de Celia Samba. Je connais cette autrice grâce à son ouvrage « La rue qui nous sépare » qui est un très beau roman engagé que j’ai pris le temps de découvrir il y a quelques mois. Je me rends compte en écrivant ces mots que je ne vous en ai pas parlé ici pourtant c’est un très beau roman donc il va falloir que je prenne le temps de vous en parler. Ce nouveau roman que j’ai découvert par hasard me semble lui aussi engagé qui évoque un sujet très fort qui me parle particulièrement.
« Laurie a dix-neuf ans, et Eliott, quinze. Ils jonglent entre les cours, les amis et les soins à donner à leur mère gravement malade. Ce rythme épuisant les pousse à s’oublier eux-mêmes. Jusqu’au jour où Xander, jeune auxiliaire de vie venu leur prêter main-forte, débarque dans leur quotidien. Aussi déterminé que séduisant, il mettra tout en œuvre pour leur faire comprendre que, pour accompagner leur mère, ils doivent d’abord prendre soin d’eux, reprendre goût à la vie… et peut-être même à l’amour.
« J’ai beau dire, je comprends ce que ressent Eliott. Cet étrange paradoxe qui nous poursuit au quotidien : le besoin d’être auprès de Maman, de l’aider, de l’aimer à chaque instant, et ce malgré l’épuisement, la lassitude, l’envie de liberté et de temps pour soi. »
Pour chaque achat de ce roman, 1 euros sera reversé pour l’association JADE qui soutient les enfants et adolescents qui aident un proche parent malade ou en situation de handicap. »
21 avril : La maison aux miroirs de Christina Caboni. J’attendais la sortie de ce roman avec impatience ! Christina Caboni est une autrice dont j’aime particulièrement la plume par contre j’attends toujours la sortie poche de ces ouvrages afin de pouvoir les emmener avec moi facilement en vacances notamment.
« Et si la vérité se trouvait de l’autre côté du miroir?
La maison aux miroirs, somptueuse villa de Positano, est le seul endroit où Milena se sent chez elle. Elle y a grandi avec son grand-père Michèle et en connaît tous les recoins. Mais un jour, sa visite est troublée par une étrange découverte : un squelette retrouvé par des ouvriers dans le jardin de la propriété. Michèle, malade, semble particulièrement bouleversé. Au gré de ses délires surgit un nom: Eva, sa femme, disparue des années plus tôt, abandonnant mari et enfant. Milena va tenter de percer le mystère et plonger dans le temps et dans l’histoire, celle de l’âge d’or du cinéma italien, pour comprendre son passé et embrasser le présent… »
J’espère que cette bullette de mois en mois vous aura plu. N’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé, à partager avec moi quelques souvenirs de votre mois de mars, à me dire si il y a des sorties qui vous tentent pour mars ou ce que vous avez prévu, etc… ?
Les bullettes colorées 