De mois en mois, février 2022

Coucou,

Comme chaque mois, je vous retrouve pour la bullette de mois en mois. L’occasion pour moi de partager avec vous quelques souvenirs, moments marquants mais aussi les sorties littéraires et cinématographiques qui me tentent.

J’espère que cette bullette vous plaira, bonne lecture 🙂

Mes souvenirs de janvier

Comme nombreux d’entre vous, je n’ai pas vu le mois de janvier passer tellement il a été chargé. Il a débuté par le passage à cette nouvelle année, j’ai donc pris le temps de me poser, réaliser mon bujo qui va m’accompagner pour 2022 mais surtout penser à ce qui allait définir mon année. Pour moi, l’année 2022 sera l’année de tous les vœux, en tout cas c’est comme cela que je l’ai défini en quelques mois. Cela signifie qu’elle va être pour moi, l’année où j’ai envie de réaliser de nombreux projets, d’en définir de nombreux, etc…

2022 va aussi être l’année de mes 25 ans, une étape qui a mes yeux est importante car je veux qu’elle symbole une évolution dans ma vie. Il y a une dernière petite chose à propos de ce début d’année que je souhaite vous partager, ce sont les résolutions que l’on prend ou sur lesquelles ont nous questionne. Personnellement, c’est quelque chose que je n’aime pas, en tout cas qui ne me parle pas. C’est pour cela que je n’en prends pas. La seule « résolution » que j’ai eu envie de prendre cette année c’est de penser à moi, prendre soin de moi et ne pas m’oublier, pour la seule est unique raison que je me suis rendue compte que c’est quelque chose d’essentiel mais pourtant que j’oublie. Alors cette année, je vais faire en sorte d’évoluer et ne pas m’oublier.

Le mois de janvier a aussi débuté avec des beaux moments en famille à profiter ensemble de repas, de moments de jeux, d’échanges, etc…des moments précieux qui font du bien.

Janvier s’est poursuivi avec la reprise des cours, des rdv pro, des rdv de santé mais aussi la mauvaise surprise des soucis administratifs qui m’ont fait vivre des moments d’angoisses comme j’en avais jamais vécu. Heureusement, je suis bien entourée ce qui a permis de comprendre les problèmes et trouver petit à petit les bonnes solutions. Mais oh la la qu’est-ce que c’est angoissant les soucis administratifs quand tu ne peux pas entièrement les contrôler.

Au fil du mois, j’ai aussi pris le temps de m’accorder des pauses, du temps pour moi, pour aller m’aérer, lire, me reposer, profiter des rares rayons de soleil, etc…

J’ai aussi pris le temps pour la première fois d’aller au cinéma seule voir Rosy dont je vous parle ici. Mais aussi de profiter du festival premiers plans où j’ai pu voir :

  • l’Horizon d’Émilie Carpentier avec notamment la participation de Tracy Gotoas, Niia et Sylvain Le Gall, un premier film coup de cœur pour ma part. Nous plongeons « Au cœur de sa banlieue lointaine où s’enlacent bitume et champs, Adja, 18 ans, brûle du désir de vivre intensément. Elle cherche sa voie entre sa meilleure amie influenceuse qui brille sur les réseaux sociaux et son footballeur de grand-frère qui sature tout l’espace de réussite familiale. L’inattendu que lui propose la ZAD (Zone À Défendre) installée à la limite de son quartier l’attire. S’y rapprochant d’Arthur, ami de lycée, elle y vit des journées intenses et décisives où le choix d’un monde plus durable lui retourne le cerveau tout autant qu’il l’amène à prendre des risques aux côtés de cette Génération Climat. ». J’ai vraiment trouvé ce film beau, engagé, bien réalisé et surtout d’actualité. Je vous le recommande fortement. Il sort début février pour tous, je vous remets les dates après mais ce sera l’occasion d’aller au cinéma si vous en avez envi.
  • J’ai ensuite participé aux projections Chenaplans 6+ où j’ai vu de nombreux petits films d’animations dont Ondine de Laura Alves que j’ai adoré. Pendant 3 min nous partons à la rencontre d’ «Émilie, une petite fille solitaire dans un parc rempli d’enfants qui jouent et s’amusent, perd son ballon dans un petit coin d’eau. En essayant de le récupérer, elle découvre une créature dans l’eau, Ondine. Elle va se lier d’amitié avec cette dernière et vivre un moment magique avec elle le temps d’un instant. ». Un petit film d’animation tout doux, mignon, beau qui m’a touchée. De plus, le parcours de Laura Alves m’inspire beaucoup. En effet, « Tout juste sorti du lycée, Laura Alves intègre l’école Émile Cohl pour continuer et approfondir l’apprentissage du dessin. Intéressée par l’alliance de l’image animée et du son, elle se dirige vers la spécialisation Cinéma d’Animation dans le but d’apprendre à animer les personnages qu’elle aime dessiner. Attirée par la culture pop mais aussi les univers féérique et colorés, c’est naturellement qu’elle décide de réaliser son court métrage de fin d’études autour de ces sujets-là. Ondine est un conte pour enfant qui allie douceur, magie et légèreté. ». Je pense que cette jeune réalisatrice ne doit pas être oubliée dans les années à venir car elle a beaucoup de talents et son travail m’a personnellement beaucoup parlé.

J’aurais aimé voir d’autres films, que j’ai noté et que j’irais voir à leurs sorties en salle car malheureusement, je ne peux pas être partout. En tout cas, comme toujours, le festival premiers plans est un super festival que nous avons la chance d’avoir à Angers, il est enrichissant et je ne regrette pas d’avoir pris le temps d’aller assister à quelques séances.

Et enfin, mon mois de janvier s’est terminé par un week-end chez mon papa à Chartres. J’ai pu profiter de quelques moments en famille, voir mes grands-parents, etc…mais aussi me rendre le samedi soir au Théâtre de Chartres afin d’assister au concert de l’orchestre symphonique dans lequel joue mon papa et ma tante. Ce lieu emblématique de Chartres est un lieu particulier dans mon cœur, en effet, petite j’y étais tous les ans pour mes galas de danse, c’est donc un lieu que je connais par cœur et où j’apprécie retourner dans un autre contexte. Avec les différents confinements, cela fait 2 ans qu’il n’y avait pas eu de concerts et que je n’avais pas été au Théâtre de Chartres, j’avoue que cela fait du bien de retrouver ce petit bout de culture qui fait partie de ma vie autant pour le lieu que le moment vécu. Le programme était chouette, j’ai vécu un moment agréable.

Les sorties littéraires et cinématographiques qui me tentent

  • 2 février en librairie, Black Girl de Zakiya Dalila Harris publié chez Calmann-Lévy

Et si votre voisine de bureau vous voulait du mal ?

La jeune Nella Rogers travaille à New York dans une prestigieuse maison d’édition et semble destinée à une carrière prometteuse. Cependant, elle souffre du manque de diversité au travail ainsi que des micro-agressions qu’elle subit au quotidien. Elle se retrouve constamment tiraillée entre le désir d’exprimer ses véritables opinions et la nécessité de préserver son poste.

Son monde bascule le jour où Hazel est recrutée : elle a de longues dreadlocks sublimes, et revendique haut et fort sa culture afro-américaine. Elle incarne exactement le type de femme que Nella aimerait être. Ensemble, elles pourraient révolutionner le monde de la culture pour les générations à venir. Mais peu de temps l’arrivée de cette nouvelle collègue, Nella se sent observée et commence à recevoir des lettres de menaces…

Et si la venue d’une autre fille noire était finalement le début de son calvaire ?

Un premier roman détonnant qui questionne les inégalités dans le monde du travail avec panache et audace, tout en faisant monter le suspense avec une intrigue captivante et surtout… décapante.

  • 2 février en salle, Vaillante

Depuis qu’elle est enfant, Georgia Nolan n’a qu’une seule ambition : devenir pompier comme son père ! Hélas, à New York en 1932, les femmes n’ont pas le droit d’exercer cette profession. Quand les pompiers de la ville disparaissent un-à-un dans de mystérieux incendies dans des théâtres de Broadway, Georgia y voit une occasion en or : elle se déguise en homme et intègre l’équipe de pompiers débutants chargés d’arrêter le pyromane ! C’est le début d’une aventure aussi désopilante qu’à couper le souffle !

  • 3 février en librairie, Je deviens l’artiste de ma vie ! d’Isabelle Layer publié chez Eyrolles

Croire en ses rêves rend la vie plus belle et permet de déplacer des montagnes. Mais encore faut-il avoir trouvé ses rêves !

Découvrez dans ce livre une méthode simple, ludique et efficace pour identifier vos aspirations les plus profondes et développer les 12 clés qui ouvrent le champ des possibles.

À chaque étape, entre apports théoriques et applications concrètes, vous prendrez conscience de vos croyances limitantes, adopterez de nouveaux comportements bénéfiques et développerez les ressources et attitudes des gens qui réalisent leurs rêves. En témoignent, au fil des pages, des personnalités qui sont passées par là, telles qu’Éric-Emmanuel Schmitt, Pascal Légitimus, Marianne James, Jarry, Philippe Geluck, Natalie Dessay, Abd al Malik…

Ainsi, de clé en clé, d’exercice en exercice, de résultat en résultat, vous évoluerez et de nouvelle perspectives et opportunités commenceront à apparaitre dans votre vie.  Ces transformations vous apporteront l’énergie et la motivation d’être pleinement vous-même et d’avancer sur le chemin de votre épanouissement et de vos rêves, pour devenir l’artiste de votre vie.

  • 3 février en librairie, A(ni)mal de Cécile Alix publié chez Slalom

Je suis un homme

 » Tu ne dis pas d’où tu viens, tu ne dis pas ton nom, tu oublies ton pays, compris ? Tu m’oublies. Et tous les autres que tu connais, que tu as connus, tous, tu les oublies aussi. Et qui tu es, tu l’oublies. À partir de maintenant, tu n’es personne, tu n’es de nulle part. À toi de redevenir quelqu’un, c’est possible. C’est possible, tu m’entends ? À ton âge, tout est possible. « 
Avoir 15 ans dans un pays en guerre, être forcé de devenir un homme, se retrouver projeté sur les chemins de la clandestinité, effleurer les limites de l’humanité, apprendre à survivre, s’effacer, oublier…
Puis
Vivre – à nouveau
Ressentir – encore
Faire confiance – petit à petit
Garder espoir – toujours
Le parcours d’un migrant, des difficultés indicibles de son voyage jusqu’à la résilience.

  • 9 février en salle, l’horizon par Émilie Carpentier, Cécile Vargaftig avec Tracy Gotoas, Sylvain Le Gall, Inas Chanti

Au cœur de sa banlieue lointaine où s’enlacent bitume et champs, Adja, 18 ans, brûle du désir de vivre intensément. Elle cherche sa voie entre sa meilleure amie influenceuse qui brille sur les réseaux sociaux et son footballeur de grand frère qui sature tout l’espace de réussite familiale. L’inattendu que lui propose la ZAD (Zone À Défendre) installée à la limite de son quartier l’attire. S’y rapprochant d’Arthur, ami de lycée, elle y vit des journées intenses et décisives où le choix d’un monde plus durable lui retourne le cerveau tout autant qu’il l’amène à prendre des risques aux côtés de cette Génération Climat.

  • 11 février en librairie, La mer verticale de Brian Freschi et Ilaria Urbinati publié chez Dargaud

India est sujette à des crises de panique. L’air lui manque soudain au point de la faire suffoquer. Pourtant, elle a tout pour être heureuse : un compagnon, qui l’aime – Pier – et un métier qu’elle adore – institutrice.

Mais quand une de ces attaques la surprend en pleine classe, les parents mettent la pression sur la direction pour qu’elle soit licenciée. Quant à Pier, il est perdu.

Peu à peu, elle prend conscience que chercher à vaincre son « ennemi » est vain. Et qu’il vaut mieux tenter de l’apprivoiser. En parallèle à la thérapie qu’elle entame dès le premier chapitre, elle a recours à l’écriture et fait appel à son imagination.

Une belle histoire de résilience intime délicatement mise en scène par un dessin hyper sensible et une palette de couleurs tout en nuances et en fragilité. Le noir, magnifique et inquiétant, illustre les états dans lesquels est plongé le personnage et les contes qu’elle raconte à ses élèves.

  • 15 février en librairie, La librairie des rêves ensevelis de Madeleine Martin publié aux éditions Charleston

Août 1939. La guerre gronde en Europe. Grace Bennett a toujours voulu s’installer à Londres, mais les portes closes et les lugubres bunkers qu’elle y découvre sont bien loin de ce dont elle rêvait. Et elle, qui n’a jamais été une grande lectrice, ne s’imaginait pas non plus trouver du travail dans la librairie de Primrose Hill. Quand le Blitz détruit une partie du centre-ville et que des milliers de livres se retrouvent brûlés et ensevelis sous les décombres, la librairie est miraculeusement épargnée. Au milieu des coupures d’électricité, du son strident des alarmes et du grondement sourd des raids aériens, la littérature sera une source d’espoir pour Grace et pour tous les gens du quartier, car le pouvoir des mots est plus fort que le bruit des bombes.

  • 16 février en salle, King

King, un lionceau destiné à un trafic, s’échappe de l’aéroport et se réfugie dans la maison d’Inès, 12 ans et Alex, 15. Le frère et la sœur ont alors l’idée folle de le ramener chez lui, en Afrique. Mais la traque des douaniers ne leur facilite pas la vie. Lorsque Max, leur grand-père fantasque qu’ils n’ont vu que deux fois dans leur vie, se joint à l’aventure, tout devient possible.

J’espère que cette bullette de mois en mois vous aura plu. N’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé, à partager avec moi quelques souvenirs de votre mois de janvier, à me dire si il y a des sorties qui vous tentent pour février ou ce que vous avez prévu, etc… ?

Pour ma part, je vous dis au mois prochain pour la suivante et à bientôt sur le blog pour découvrir d’autres jolies bullettes.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s